lundi 30 décembre 2013

Mon Noël 2013


Quand je vivais à Vesoul, Noël s'annonçait à l'avance. La foire de la Sainte Catherine, le 25 novembre, exactement un mois avant annonçait le début des hostilités. En général, cette grande foire coïncidait avec le premier vin chaud, le premier pain d'épices et souvent, les premières neiges. L'année dernière, entre Langres et Luxeuil, j'ai eu mon lot de jours de brouillard et de galères sur les routes enneigées pour me sentir en hiver et bien comprendre que les fêtes approchaient.

Cette année, à Montpellier, les choses étaient légèrement différentes. Beaucoup d'arbres ont un feuillage persistant, et même si la température baisse, le ciel reste bleu. Le marché de Noël de l'Esplanade n'a pas le charme de ceux de l'est de la France : même si on y trouve des santons, les produits locaux sont plutôt le vin et l'huile d'olive. Le sapin blanc recouvert de fausse neige de la place de la Comédie fait déplacé dans ce décor et est trop petit sur cette place immense.
Et à la maison, peu de décorations, si ce n'est que la lampe du salon rendant l'âme à la bonne période, j'en  ai profité pour éclairer la pièce avec des guirlandes lumineuses.


Cette année, j'ai passé les fêtes dans la famille de mon viril-mais-doux, dans le Nord-Pas de Calais (j'y reviendrais). La grande place de Lille, la gaufre locale et les croustillons hollandais ont ramené un peu de l'esprit de Noël que je n'ai pas trouvé dans le sud. Mais comme je ne verrai ma famille qu'en janvier, il me reste encore des cadeaux à emballer (et à trouver !!!). Noël a eu du mal à arriver, mais cette fête n'est pas encore finie...



jeudi 19 décembre 2013

Re-prendre l'air

Continuons la visite touristique, messieurs-dames. C'est par ici, suivez, suivez le guide.

Après la montagne, allons voir la mer. Ou plutôt les bords de mer et bords d'étang. Une promenade un peu magique, commencée sous un couvercle nuageux et terminée par un grand soleil. Pas très loin de Frontignan, nous avons découvert les Aresquiers et l'étang d'Ingril. Premier arrêt sur la plage, encore assez fréquentée par les promeneurs, puis direction les bords de l'étang pour longer la forêt de pins.











Les flamands roses faisaient tranquillement la sieste sur une jambe, les contrastes de couleurs était fabu-chouettes entre le jaune des herbes sèches, le vert fort des pins, le ciel gris-gris-gris, puis bleu-bleu-bleu et l'eau de l'étang comme un miroir.
Mais ce qui m'a fascinée, c'est le canal du Rhône à Sète. Depuis très longtemps, j'ai une attirance pour tout ce qui concerne les péniches, les canaux, les écluses, tout le package, quoi. Mais là, ce canal est assez fou : construit en plein milieu d'un étang, et à quelques dizaines de mètres de la mer... Et les quelques maisons de pêcheurs, coincées sur un bout de terre entre l'étang et le canal, on pourrait presque les croire flottantes !



Comme le ciel s'était découvert par l'ouest, nous avons poursuivi notre journée en découvrant rapidement Sète.




Marcher le long des canaux n'est pas toujours agréable car les routes suivent les mêmes axes, mais l'eau apaise tout, non ? Nous ne sommes pas restés longtemps, le soleil se couchant tôt (voui, c'est un peu banal comme considération, je sais, je sais), mais passer quelques heures à Sète, c'est se donner une vraie envie d'y retourner, pour vraiment découvrir la ville : ses musées d'art contemporain comme son port de pêche, ses installations industrielles mais aussi la colline, et passer quelque temps sur une terrasse de café pour écouter l'accent des locaux.


Je pensais proposer du Georges Brassens, mais finalement : *** CocoRosie - Lemonade ***

mardi 17 décembre 2013

Prendre l'air

Quand des amis passent sur Montpellier pour une journée, je leur fais faire une visite "classique" du centre-ville. Parcours traditionnel : Place de la Comédie/Écusson/Promenade du Peyrou/Halte par les places St Roch, Ste Anne et cathédrale St Pierre. Si c'est l'été, arrêt obligatoire en soirée sur "l'Espla" pour les Estivales. Si le temps est doux, un apéro sur une des places de l’Écusson, toutes sont agréables en ayant chacune leur charme. S'ils restent un peu plus longtemps et ne sont pas rebutés par l'architecture contemporaine, la promenade s'étend au quartier d'Antigone/rives du Lez/Nouvelle Mairie. On a même tenté la plage de Palavas le 15 août, quelle hérésie, une heure de trajet aller, une heure de trajet retour pour 15 kilomètres...pfff.

Mais cette fois-ci, un ami est venu un peu plus longtemps, en décembre. Nous sommes donc partis un peu plus loin pour aller au-delà de la visite convenue du centre-ville historique. Direction les Cévennes pour prendre un peu le large, pour prendre un peu d'air.




Premier arrêt au bourg du Vigan et son remarquable pont du XIIème siècle. Cette petite ville n'a pas énormément de charme, quelques rares éléments historiques dispersés dans une ville un peu restée dans le passé, la rivière de la Vis la traversant, mais elle est surtout un point de départ pour le cirque de Navacelles et les gorges de la Vis.







On arrive par une route peu fréquentée, sur un causse désert. On devine quelques moutons de ci-delà, peut-être des chèvres, mais pas grand monde à cette saison. Nous avons accédé au cirque de Navacelles par un site très (trop ?) aménagé, 4 belvédères donnant des points de vue différents sur ce paysage vertigineux. Je ne suis pas très forte en géologie, mais il s'agit, en gros, d'un énorme plateau de roche creusé  pendant des millions d'années par la rivière la Vis. Perchés sur le causse de Blandas, on peut voir le Larzac en face, et la végétation montre la même aridité sur les deux plateaux. Pour plus d'infos sur ce site classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO,  c'est ici : http://www.caussesetcevennes.net/


On devine, aux sentiers aménagés, les cars se garant par dizaines au mois d'août,  les campings-cars un peu à l'étroit sur ces routes, les foules de touristes piétinant et jouant des coudes pour avoir le meilleur point de vue. Je les comprends, ce site par grand soleil , doit être magnifique. Mais quelle chance ce jour-là de l'avoir pour nous seuls ! Personne, seulement le chant d'un oiseau, ce qui rend le lieu encore plus sauvage. Et l'envie de découvrir les chemins de randonnée cachés dans les replis de la roche et de la végétation. Mais en décembre, le soleil se couche bien trop tôt... Donc retour sur Montpellier, avec un arrêt au lac du Salagou, et un tour rapide à Saint-Guihlem-le-Désert, mais il faisait déjà trop sombre pour avoir des photos correctes.

Suite de la visite touristique plus tard...

Ce n'est pas le morceau le plus récent, mais comme c'est juste un peu génial, pourquoi se priver :

mardi 3 décembre 2013

L’œil et le palais

A l'occasion d'une visite de la belle-famille, j'ai voulu essayer un dessert qui soit à la fois beau et bon. A force de traîner sur des réseaux sociaux comme instagram et pinterset, à force de voir ces jolis gâteaux sur les blogs de cuisine, j'ai tenté le layer cake. Mais c'est quoi un layer cake ? Tout simplement un gâteau constitué de plusieurs couches entre lesquelles on intercale de la confiture, de la crème, ou tout ce qu'on souhaite.

J'ai fait simple : une génoise, et un mélange de mascarpone/confiture de mûres/fruits rouges, le tout saupoudré de copeaux de chocolat blanc. En fait, c'était plutôt facile, mais ça en jette pour peu de frais !




Parce que, malgré son titre, c'est une chanson qui fout la patate :

jeudi 28 novembre 2013

De la neige

Hier matin, pendant une heure, il a neigé. Je ne pensais pas vivre ça à Montpellier si tôt, si vite, et je ne pensais même pas que ce soit POSSIBLE ! Je me suis précipitée dehors, parce que, après tout, ce sera peut-être la seule fois de l'année où je verrais de la neige !

La preuve en images...





Bon d'accord, au sol, ce n'est pas évident évident... Mais la couleur du ciel, les enfants (on était mercredi) qui chantent à tue-tête "Il nei-geuh, il nei-geuh", les capuches et les bonnets sur les oreilles, c'était juste assez pour glisser un sourire sur mes lèvres.

Pour les amis de l'est que j'entends déjà dire "où ça ? je vois rien !", la photo d'un flocon sur ma manche.


Bon hiver à tous !

mardi 26 novembre 2013

Le retour de l'écureuil

J'ai déjà parlé de mon côté écureuil, héritage d'une enfance passé à la campagne où une partie de la nourriture se récolte ou se cueille. Arpenter les chemins pour ramasser des mûres, se mettre sur la pointe des pieds pour atteindre une branche de noisetier mais aussi être de corvée de cueillette des haricots dans le potager derrière la maison.
Aujourd'hui, je n'ai pas de jardin, même pas un petit balcon et il devient plus difficile de glaner lors de mes promenades à Montpellier (malgré les efforts des Incroyables Comestibles et la trouvaille du figuier qui tendaient ses branches sur la rue !).
Mais, mes beaux-parents vivent dans une grande maison, sans réel jardin mais avec de beaux cactus accueillant les visiteurs, cactus arborant des figues de barbarie aux petits piquants fourbes.
Ne sachant trop comment cuisiner ces fruits, j'ai tenté : les pâtes de fruits.


Pour la recette, j'ai suivi une recette de pâtes de fruits aux fruits de la passion et auparavant, j'avais consulté le web pour trouver des conseils sur "l'épluchage" des figues de barbarie sans se piquer les doigts (avec précaution et une manique, on les pèle et on récupère la chair pour la passer au moulin à légumes).
Bon, le résultat n'est pas complètement probant, la gelée de figues n'a pas assez "pris" et n'est pas assez ferme (un petit manque de cuisson, certainement). Le goût est très sucré et un peu doucereux, pas mal pour accompagner un café, mais assez bon pour boulotter devant la télé (tant mieux !). Je ferai sûrement une autre utilisation l'année prochaine.

J'ai (re)vu "La famille Tenebaum" et n'arrive pas à me défaire de ce morceau depuis :


mercredi 20 novembre 2013

Un peu plus haut


Je n'ai pas l'habitude de me percher volontairement en hauteur pour cause de vertige très très prononcé... Mais quand, par hasard, je me trouve dans un immeuble de plus de 2 étages avec vue sur les toits de la ville, je m'approche timidement de la fenêtre pour voir, pour trouver ma maison, rêver de sauter comme dans "Donjons et dragons" !
Le ciel était bas, mais la vue n'en était pas moins vertigineuse.



dimanche 17 novembre 2013

After the Dream, 2013

C'est rigolo, en même temps que mon retour aux aiguilles et pelotes, je découvre l'expo de Chiharu Shiota au Carré Sainte-Anne.
Cinq longues robes blanches prises au sein d'un enchevêtrement de fils de laine noire, un décor de conte de fées, onirique et un peu inquiétant, qui donne à la fois de se jeter dans cette toile d'araignée géante, rien que pour voir si on peut y rebondir ou s'y glisser. Ou bien, trouver le fil, et le suivre entre les piliers, entre les robes. Cocon, protecteur ou toile d'araignée piégeuse ? Dommage, aujourd'hui était le dernier jour de l'exposition pour se faire une idée.







Ca ressemblait fort à un décor de théâtre, et ça m'a plu...

Lien un peu facile, mais ce sera une chanson de l'album 'Le fil' :

vendredi 15 novembre 2013

De la chaleur autour de ton cou...

Je ne sais pas si c'est l'arrivée de l'hiver, si mes doigts s'ennuyaient, ou si j'avais envie de déposer, comme ça, un peu de chaleur dans le cou des gens que j'aime... Toujours est-il que depuis peu, je tricote. Point mousse pour commencer, petits pompoms et petit noeud. A venir, point jersey et autres couleurs douces.





mercredi 13 novembre 2013

Echappée belle dans le Tarn



Retrouver des amis nomades sédentarisés à Lautrec, village tout mignon du Tarn, en plein milieu du Pays de Cocagne.
Voir (ou revoir) des spectacles de marionnettes dans un café culturel que je voudrais au bas de chez moi.
Ecouter des tubes du grenier et laisser les guitares chanter.
Profiter du soleil d'automne et se la jouer promenade autour du lac de la Barcalié.


















samedi 9 novembre 2013

Gourmandises du week-end

Week-end entre amis, on joue à "qui amène quoi" et bonne pioche, je remporte le dessert. 
Le sucré, ça me va.




Gâteau chocolat-poire (à partir d'une recette d'un vieux magazine), mini-cannelés (d'après la recette de ma soeur) et madeleines dorées (celles du livre de la super supérette).



lundi 4 novembre 2013

Le contenu et le contenant

Quand j'ai arrêté de croire au Père Noël, quand j'ai commencé à consacrer mon argent de poche du mois de décembre à faire de jolis cadeaux à mes parents, mon frère et ma sœur, j'ai aussi commencé à prendre plaisir à emballer moi-même les cadeaux. Le résultat était souvent approximatif (il l'est toujours !), mais j'avais l'impression de me transformer en lutin du Père Noël préparant une énorme surprise. 
Lorsque, à la maison, plus personne n'a cru au Père Noël, la tension est devenue encore plus forte : il ne s'agissait plus d'attendre le 24 décembre au soir pour déposer discrètement les cadeaux au pied du sapin chacun son tour, en essayant soigneusement de s'éviter les uns les autres. Non, nous pouvions poser les cadeaux dès qu'ils étaient prêts. Ce qui fait que certains paquets pouvaient rester au moins deux semaines à la vue de tous. D'où l'importance de l'emballage. 




Ce week-end, c'était l'anniversaire des nièces, les deux plus jeunes. Et je me suis amusée à décorer deux des paquets selon une formule trouvée sur pinterest : scotch double face et confettis. Le papier kraft reste une base que j'adore, sur laquelle on peut s'amuser à plein de variations : masking tape, rafia, ficelle, tampons, peinture... Du coup, l'emballage devient un marqueur qui permet de savoir qui a offert le cadeau. Une nièce, la plus âgée et la plus perspicace a dit "ça, c'est tata, je reconnais le scotch". D'accord. Je vais devoir ruser à Noël pour qu'on croit vraiment que le cadeau a été emballé par un lutin.


Mais je me dois d'être honnête. Faire un joli paquet cadeau, ça me fait surtout plaisir à moi. Les nièces ont déchiré comme il se doit le papier sans s'en préoccuper ! Sauf la plus jeune qui a pris les confettis pour le système d'ouverture facile (et je l'avoue, j'ai ri !).






dimanche 20 octobre 2013

Tres dias en Barcelona

La semaine dernière, mon viril-mais-doux, qui avait besoin de vacances et de repos, et moi, qui avait un grand besoin de dépaysement, sommes partis à la découverte de Barcelone.
Notre point de départ étant la côte vermeille, nous n'étions pas bien loin de la capitale de la Catalogne. Et oui, je pensais partir en Espagne, mais les nombreux drapeaux aux fenêtres et balcons m'ont très vite rappelée à l'ordre : nous étions en Catalogne. Donc, en entrant dans un commerce, mieux vaut saluer d'un "Bon dia" que du "Hola", pour montrer qu'on fait un effort, même si ensuite on repasse très vite aux quelques notions de castillan apprises à l'école.

Le talentueux Boulet a écrit une très belle note sur sa sensation de connu en arrivant à New York, je crois qu'il décrivait la ville comme une Marylin Monroe au réveil, pas coiffée- pas maquillée...
Il y avait un peu de ça dans ce séjour à Barcelone, l'impression de venir faire des photos souvenirs conformes à l'imagerie véhiculée par des films vus et revus, par les photos des amis sur leur compte facebook, mais en cadrant bien, afin de dissimuler les touristes en masse, les vendeurs à la sauvette et les messages sur les murs disant "les touristes, hors du quartier !". (Tout ça étant surtout très vrai aux abords du Parc Güell).

Mais je sais parfaitement assumer mon statut de touriste, baskets aux pieds pour arpenter la ville de long en large, appareil photo toujours à portée de main, et bouche gourmande prête à savourer les spécialités espagnoles les plus connues. Voici donc un petit compte-rendu en images de cette escapade barcelonaise.

Tout d'abord, un petit clin d’œil au Corte Ingles. Je ne suis pas rentrée dans ce magasin qui n'est qu'une variante de nos Galeries Lafayette, mais le nom de l'enseigne m'a toujours amusée : qu'on m'enseigne en cours d'espagnol que le nom des plus grands magasins espagnols se traduise par "la cour d'Angleterre"... ça me laisse un peu moqueuse !




Je n'ai aucune photo réussie de la Rambla, ou du quartier Gotic, mais voici quand même un aperçu de cette partie de la ville.

La cathédrale



La Plaça Reial



Un étal du marché de la Boqueria

Le marché de la Boqueria est impressionnant par le nombre et la variété des aliments proposés, mais il est tellement touristique qu'il met presque mal à l'aise : les denrées ne sont-elles qu'un décor ? Je n'ai vu personne acheter autre chose qu'un jus de fruit. Les Barcelonais viennent-ils réellement faire leurs achats dans cet endroit ? Nous logions dans le quartier de Gracia, dans lequel il y avait également un marché couvert, plus petit, certes, mais finalement plus haut en couleur, car plus éloigné du cœur historique de la ville et essentiellement fréquenté par les habitants du quartier.



Je n'ai pas non plus de photo correcte de la Rambla del Mar, mais nous nous y sommes promenés avec plaisir. Que ce soit dans les petites rues anciennes ou sur les grands boulevards où la circulation est dense, on oublie vite que Barcelone est une ville côtière. Nous avons manqué Barcelonetta et ses plages faute de temps, mais nous sommes promenés dans le quartier olympique (oui, rappelez-vous, Barcelone 1992 !).


On se retrouve tout à coup au bord de la plage, et comme on est entourés à la fois d'une architecture moderne et de palmiers, les joggeurs, cyclistes et autres beach-volleyeurs (pas de nageurs, on était quand même en octobre) donnent le sentiment d'être dans un épisode d' Alerte à Malibu ou un clip tourné en Floride. Jusqu'à ce que, en se promenant sur la jetée abritant la marina, on croise un groupe de trois papis catalans bien portants, avec l'accent, et tout ce qui accompagne le cliché de l'homme espagnol !



Mais, le vrai fil rouge de Barcelone, dans toute son exubérance architecturale, c'est bien sûr l'oeuvre de Gaudi
La maison Batlo



Accès au Parc Güell 
(Nous avons découvert en redescendant l'existence d'escalators pour touristes fatigués... 
mais finalement, ce Parc se mérite par son ascension sportive !)



Quelques images du fameux banc de Trencadis, où chacun s'assoie, prend la pose, ou prend sa pause en observant le jeu du chat et de la souris entre les vendeurs de souvenirs à la sauvette et les forces de l'ordre.





Le Parc Güell donne l'impression d'être à la fois un parc d'attraction et un lieu féerique. Si je n'étais pas une marmotte, je m'y serais volontiers rendue aux aurores pour éviter la foule et profiter pleinement de l'endroit.



Les fameux viaducs aux colonnes penchées...



Et, last but least, la Sagrada Familia. N'ayant pas anticipé et pris nos billets avant de se rendre à Barcelone, nous avons renoncé à la visite de l'intérieur du temple. En effet, il pleuvait, et la perspective d'attendre sous la pluie ne nous enchantais guère. Ce bâtiment est très impressionnant, par sa démesure et son abondance de sculptures, de signes et symboles, et parce que, encore en chantier, on ne peut s'empêcher de se demander ce qu'il sera, une fois terminé.


Pas de chanson cette fois-ci, mais un aperçu de ce que devrait être ce temple en 2026 :